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Démenti de la SCPP sur la rémunération de son dirigeant
La SCPP dément les informations sur la rémunération de son dirigeant publiées par le Point.fr « suite à une mauvaise lecture du rapport de la Commission de contrôle des SPRD ». Dans un communiqué, la société civile de producteurs fait savoir que, contrairement à ce qui est indiqué dans l’article du Point.fr, Marc Guez, son directeur général, n’est pas le bénéficiaire de la deuxième rémunération du secteur. « Sa rémunération n’est donc pas du tout supérieure à 400.000 €, mais se situe à un niveau très inférieur, qui est celui des dirigeants de la SACD et de la Scam. Elle souligne que par ailleurs, il n’est nulle part indiqué dans le rapport que « le patron de la SCPP est trop payé pour le service qu’il rend à ses sociétaires » ni « qu’il perçoit un salaire équivalente aux patrons de l’industrie du disque ».
La SCPP rappelle qu’elle avait indiqué à la Commission de contrôle que le salaire de son dirigeant avait été fixé, lors de son embauche il y a près de 15 ans, au niveau de sa fonction précédente, qui était celle de directeur général d’une major du disque, qui était très inférieure à celle d’un patron de major (c’est-à-dire son Président). Elle avait également mentionné que le salaire actuel de son dirigeant était en phase avec les résultats d’enquêtes salariales, telle que celle publiée par le magazine Challenge en octobre 2008, appliqués à sa situation personnelle, c’est-à-dire prenant notamment en compte le chiffre d’affaires et les effectifs de la SCPP (page 274 du rapport). « D’une manière générale, ainsi que cela figure page 277 du rapport de la Commission de contrôle, les rémunérations des salariés de la SCPP, y compris celle de son dirigeant, sont en phase avec celles pratiquées par des entreprises de taille comparable » indique la SCPP qui a demandé au Point.fr la publication d’un rectificatif.
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